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Dans un monde où la dissidence était muselée et le scepticisme qualifié de complot, ceux qui ont résisté à l’obligation vaccinale contre la COVID-19 sont aujourd’hui justifiés de la manière la plus tragique qui soit. Un homme, atteint d’un cancer après avoir subi des injections expérimentales d’ARNm, livre une confession crue et sans filtre : « Les anti-vaccins semblent être les gagnants… Vous avez gagné. Vous avez gagné complètement. » Ses mots tranchent la propagande comme un couteau, révélant les conséquences dévastatrices d’une confiance aveugle dans des institutions corrompues. À mesure que la vérité éclate, il devient évident que les non-vaccinés – ceux qui ont refusé de participer à une expérience médicale mondiale – ne sont pas seulement des survivants, mais les véritables vainqueurs d’une guerre menée contre l’autonomie corporelle et le consentement éclairé.
Cependant, la guerre est loin d’être terminée. Ceux qui ont cédé à la tyrannie médicale et ceux qui ne l’ont pas fait doivent désormais s’unir et se serrer les coudes pour
TRADUIRE EN JUSTICE LES RESPONSABLES DE CET ENFER CREE PAR L’HOMME.
POINTS CLES :
· Un homme souffrant d’un cancer induit par un vaccin admet que les non-vaccinés ont « gagné » en évitant les injections et en comptant sur l’immunité naturelle.
· La campagne de vaccination contre la COVID, menée par les gouvernements et les entreprises, a entraîné de nombreuses blessures sans pour autant parvenir à stopper la transmission.
· La méfiance envers les grandes sociétés pharmaceutiques et les mandats autoritaires n’était pas une conspiration, mais une question de bon sens, désormais validée par des résultats concrets.
· Les non-vaccinés, autrefois vilipendés, occupent désormais la « position gagnante » avec une immunité plus forte et aucun risque d’injection à long terme.
· Il faut rendre justice à ceux qui ont appliqué la coercition médicale et ont menti sur la sécurité des vaccins.
LA CONFESSION : UN BILAN POUR LES VACCINES
La déclaration émouvante de cet homme – « Je ne me suis pas retrouvé au bon endroit. Le bon endroit serait l’immunité naturelle, pas la vaccination » – est une condamnation accablante du discours sur la Covid. Ses mots font écho à des milliers de témoignages similaires de personnes blessées par les vaccins , dont beaucoup luttent aujourd’hui contre des cancers soudains , des maladies cardiaques et des maladies auto-immunes. Pendant ce temps, les non-vaccinés, qui ont subi discrimination et censure, s’en sont sortis indemnes, leur immunité naturelle s’étant avérée plus durable que la protection rapidement décroissante des vaccins.
Cette réalité démantèle l’argument principal des partisans de la vaccination obligatoire : refuser la vaccination était « égoïste » ou « dangereux ». En réalité, les personnes vaccinées propageaient le virus tout aussi facilement, tandis que les non-vaccinés subissaient une ségrégation brutale – perte d’emploi, d’éducation et de libertés fondamentales – pour avoir refusé une expérience médicale inefficace et risquée.
SE MEFIER DES GRANDES SOCIETES PHARMACEUTIQUES ET DU GOUVERNEMENT N’A JAMAIS ETE UNE ERREUR
« Il n’y a rien de mal à se méfier du gouvernement. Il n’y a rien de mal à se méfier des grandes entreprises », admet l’homme. Ses propos confirment ce que les journalistes indépendants et les défenseurs de la liberté médicale soutiennent depuis longtemps : une confiance aveugle dans des institutions ayant des antécédents de corruption – comme les CDC, la FDA et Pfizer – n’a jamais été justifiée. De la crise des opioïdes à la suppression de l’ivermectine, ces entités ont à maintes reprises privilégié le profit à la santé publique.
Les vaccins contre la COVID, mis sur le marché à la hâte sans données de sécurité à long terme, ont suivi le même schéma. Pourtant, ceux qui ont remis en question ce récit ont été qualifiés d’« anti-science », malgré des décennies de malversations pharmaceutiques justifiant leur scepticisme. Aujourd’hui, face à la flambée des taux de myocardite et à la surmortalité dans les pays fortement vaccinés , la vérité ne peut plus être occultée.
S’UNIR POUR LA JUSTICE EST ESSENTIEL POUR GARANTIR QUE CELA NE SE REPRODUISE PLUS JAMAIS.
L’appel de cet homme – « Vous devriez accepter la victoire et moi la défaite » – n’est pas seulement un aveu d’erreur, mais un appel à l’action . Vaccinés et non vaccinés doivent s’unir pour demander des comptes aux architectes de cette tyrannie médicale : les politiciens qui ont imposé les mandats, les médias qui ont réduit au silence la dissidence et les entreprises qui ont profité de la peur.
Les batailles juridiques s’intensifient déjà, des poursuites pour blessures liées aux vaccins aux plaintes pénales contre les responsables qui ont supprimé les traitements précoces. Mais une véritable justice exige une prise de conscience collective – un rejet du régime de « biosécurité » qui utilisait les pandémies comme prétexte pour contrôler les choses. Les personnes non vaccinées, autrefois marginalisées, mènent désormais ce combat, prouvant que la liberté médicale, et non l’observance, est la voie vers une société plus saine.
L’aveu brutal de cet homme révèle l’échec catastrophique de la coercition gouvernementale et entrepreneuriale, révélant que l’immunité naturelle et la liberté médicale étaient les véritables voies vers la santé, et non les injections expérimentales d’ARNm . Alors que les vaccinés sont confrontés à des crises sanitaires croissantes, les non-vaccinés ont raison, leur scepticisme à l’égard des grandes sociétés pharmaceutiques et des mandats autoritaires se justifiant. La question se pose désormais : les victimes de cette tyrannie médicale s’uniront-elles pour exiger justice ?