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- L’administratrice en chef de la santé publique du Canada, la Dre Theresa Tam, et 29 hauts fonctionnaires ont signé un accord de confidentialité exclusif à la divulgation d’informations sur la COVID-19 qui pourrait embarrasser le gouvernement Trudeau, soulevant des inquiétudes en matière de transparence.
- Le serment a coïncidé avec des contrats de vaccins de plusieurs milliards de dollars, suggérant un effort pour protéger la prise de décision de l’examen public, les critiques affirmant qu’il privilégiait la protection politique à la responsabilité.
- Les responsables étaient tenus de respecter les codes d’éthique pour éviter « l’embarras » ou les critiques, des courriers électroniques internes révélant une frustration face à un secret excessif qui étouffait la transparence scientifique indépendante.
- Les contrats de vaccins avec Pfizer, Moderna et AstraZeneca comprenaient des protections de responsabilité pour les fabricants, laissant les contribuables couvrir les réclamations pour blessures, ce qui met désormais à rude épreuve le Programme de soutien aux victimes de vaccins (PSVV) du Canada.
- Les photos de décès post-vaccinaux et les rapports d’effets secondaires graves (par exemple, une inflammation cardiaque) ont alimenté le scepticisme, tandis que les questions éthiques (par exemple, les lignées cellulaires dérivées d’avortements) ont été minimisées, renforçant la méfiance du public.
Des documents récemment découverts montrent que la Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada, ainsi que des dizaines de hauts fonctionnaires du gouvernement, ont signé un serment secret les révélant de divulguer des informations liées au coronavirus de Wuhan (COVID-19) qui pourraient nuire à l’ancien premier ministre canadien Justin Trudeau.

Selon l’engagement obtenu grâce aux demandes d’accès à l’information, au moins 29 hauts fonctionnaires de plusieurs ministères fédéraux – dont Tam elle-même – étaient liés par cet accord de confidentialité. Ce serment soulève de sérieuses inquiétudes quant à la transparence dans ce contexte de crise sanitaire parmi les plus graves de l’histoire moderne.
L’accord signé mettait explicitement en garde contre toute divulgation non autorisée susceptible d’entraîner « embarras, critiques ou réclamations contre le Canada ». Il menace également de nuire aux relations avec les fournisseurs – une référence claire aux relations du gouvernement avec les fabricants de vaccins. Ce serment intervenait au moment même où Ottawa signait des contrats de vaccins de plusieurs milliards de dollars avec des géants pharmaceutiques.
De plus, le serment obligeait les fonctionnaires à adhérer au Code de valeurs et d’éthique du secteur public, un document censé garantir l’intégrité. Mais dans ce cas précis, il semble avoir été instrumentalisé pour réprimer la dissidence.
En fin de compte, l’engagement signé par Tam et d’autres responsables témoigne d’une volonté délibérée de soustire les décisions à l’examen public . Les critiques ont affirmé qu’il s’agissait moins de protéger la sécurité nationale que d’éviter de rendre des comptes.
LES CONTRIBUABLES CANADIENS PAIENT LA FACTURE DES BLESSURES CAUSEES PAR LES VACCINS
Le gouvernement Trudeau s’est engagé plus de 8 milliards de dollars dans des contrats de vaccins contre la COVID-19 avec des entreprises comme Pfizer, Moderna et AstraZeneca . Ces contrats comprenaient notamment des garanties de responsabilité pour les fabricants, ce qui signifie que les contribuables canadiens, et non les sociétés pharmaceutiques, couvraient les coûts liés aux vaccins.
Cet arrangement a été mené à la création du Programme canadien de soutien aux victimes de vaccins, qui fait maintenant face à des dépassements budgétaires en raison de l’augmentation des demandes d’indemnisation. Pendant ce temps, le gouvernement continue d’acheter des vaccins malgré la chute de la demande publique – une décision qui défie la logique budgétaire et médicale. (À lire aussi : Le Canada jette des millions de vaccins contre la COVID-19 après avoir dépensé des milliards auprès des grandes sociétés pharmaceutiques .)
Les rapports de Statistique Canada montrent une augmentation des décès dus à la COVID-19 et à des causes non précises après le déploiement du vaccin. Bien que la corrélation ne soit pas synonyme de causalité, ces données ont alimenté le scepticisme quant à l’innocuité des vaccins, en particulier chez les jeunes.
Des études indépendantes ont établi un lien entre les vaccins à ARNm et des effets secondaires graves, notamment une inflammation cardiaque et des caillots sanguins. De plus, des préoccupations éthiques persistantes quant à l’utilisation de lignées cellulaires problématiques d’avortements dans le développement de vaccins.
La révélation de ce serment secret met en lumière une tendance inquiétante à l’opacité dans la réponse du Canada à la pandémie. Au lieu de favoriser un dialogue ouvert, le gouvernement Trudeau a choisi de museler ses propres experts, privilégiant l’image politique à la confiance du public.
Alors que les Canadiens sont aux prises avec les conséquences à long terme de politiques précipitées, une chose est claire : la véritable responsabilité ne sera possible que lorsque toutes les informations occultées seront révélées au grand jour. D’ici là, la question demeure : que cachent-ils d’autre ?